Collection Soumise. Fille De… (13/16)

Je suis devenue ce que je suis quand je suis devenue la maîtresse de Pierre puis par des petits jeux buccaux de Joseph et enfin de Paul qui grâce à son vote a renversé le gouvernement, je suis passée du statut de fille de…à pute de…, il suffit pour m’en convaincre de sortir la carte bancaire offerte par Paul, qu’il approvisionne régulièrement.
Je croyais être une fille libre, quand j’ai fait changer de route Mariane fille de Paul, mais sa galerie, ses tableaux qu’elle vend à prix d’or, ainsi que son cul, étant toujours la maîtresse de Luc et Antoine, elle est aussi libre que moi.
Luc et Antoine, nous les avons rencontrés à Strasbourg où ils venaient de la région parisienne, c’est l’achat d’un manteau de 3 200 € qui a fait d’elle une dévergondée, mais qui a su rebondir, il suffit de voir l’appartement de cinq pièces qui se trouve au-dessus de sa galerie.

• Louana, tu peux fermer et monter nous rejoindre, viens Jessika, je crois que nous avons fait une très bonne journée.

Douze tableaux à environ 80 000 € en moyen, presque 1 million d’euros, que doit être les mauvaises journées !
Nous prenons un escalier dans le fond de la galerie pour arriver dans son appartement meublé moderne par rapport à moi et qui plus est tout en teinte blanche.
Si j’ai des fringues de qualité acheter dans de grandes enseignes, malgré ma tendance à la rébellion, je m'habille correctement, la classe en moins, chez Jennifer, c'est naturel.
Elle est belle, avec ses seuls bas blancs comme sa robe, pas de culotte, pas de soutien nichons, il est vrai que la robe ne les supporterait pas.
Elle est épilée, elle doit passer des temps fous dans les salons de beauté, il est vrai que ses mains en plus de son cul lui servent à faire du fric, je n’ai que mon cul et ma farouche envie de rejeter le système que père et mère ont voulu qu'elle me soit imposée.

Elle vient vers moi et défait ma robe, comme elle, j’ai la chatte à poil, mais j’ai des collants.



• Jessika, c’est toi qui m’as ouverte à la vraie vie, mais tu ne sais pas mettre la jolie fille que tu aies en valeur, je vais te prendre en main, je t’ai perdu trop longtemps.
• Si tu crois m’attacher dans cette bonbonnière, tu te trompes, j’aime les filles, surtout toi, tu étais émouvante dans ta candeur à Obernai, mais quand je t’ai baisé, j’avais en tête la mission que mes amants m’avaient commandée et j’adore leurs bites dans ma chatte.
N’oublie pas que celle de ton père est en moi régulièrement, je vais te dire, c’est le plus émouvant des trois, mais c’est lui qui me sodomise le mieux.

Elle m’enlève mes collants et mes talons me laissant nue.

• Tu n’as rien à craindre ma chérie, j’étais une grenouille de bénitier, je suis une artiste reconnue, le statut que tu m’as permis d’atteindre, te vaudra ma reconnaissance jusqu’à la fin de mes jours.
En ce qui concerne les mecs, pour moi mes deux mentors sont mon équilibre sexuel avec Louana qui vit ici avec moi.
Tiens, je l’entends monter, tu vas voir et surtout participer.

La jeune femme arrive sur le palier, elle est déjà nue, ses affaires pliées sur son bras, la nudité semble de mise à l’étage, la plastique de Louana n’a rien à envier à Mariane ou même moi si je prenais plus de temps à m’occuper de moi.

• J’ai vu ton amie dans la galerie, je suis sûr que c’est Jessika dont tu m’as tellement parlé depuis que nous nous sommes séduites pendant ton safari avec tes hommes.

En parlant de cela, ayant gardé ses talons hauts, ce qui accentue sa chute de rein, ses cheveux coiffés en chignon à l’étage inférieur tombent jusqu’à ses reins quand elle défait la barrette qui les retient.
Avec ses cheveux bruns, après qu’elle eut embrassé sur la bouche Mariane, il vient vers moi, au moment où nos bouches vont se toucher, je constate ce que je n’avais pas vu, ces yeux sont d’un vert de jade, la pupille en forme d’Amande, me donnant l’impression d’avoir devant moi les yeux d’un serpent.


• Puisque tu es debout, va nous chercher du champagne avec trois coupes, la recette d’aujourd’hui, doublée du retour près de nous de Jessika, vos biens quelques gouttes de ce divin breuvage.
• C’est ton père qui te fournit.
• À oui, j’oubliais, c’est grâce à ce breuvage que j’ai franchi bien des étapes à Obernai.

Dans le secteur de la cuisine, la belle brune fait sauter le bouchon de champagne, du liquide sort du goulot en geyser inondant la cuisine et lui sortant un cri de surprise de la bouche.
Je suis assise sur le canapé blanc, la jambe naturellement poser en biais, Mariane est en position identique, quand Louana revient avec les coupes elle s’assied entre nous et nous trinquons, elle pose son verre sur la petite table et poser sa tête sur la poitrine de mon amie.
Elle s’allonge et son pied vient en contact de mon sexe qui lui est offert.
Mariane se penche et les deux filles s’embrassent comme des amantes qu’elles sont, sa main venant pincer son mamelon qui ressemble à des fraises.
Le pouce du pied de Louana vient caresser mon clito, je tends le bras et mes doigts entrent dans sa chatte dégoulinante.
Je trouve son clito bien protégé par son capuchon, je lui fais prendre l’air et mon doigt continue sa caresse, elle commence à se tortiller alors que je sens que de mon côté l’excitation commence à monter.
Je prends ma main et j’écarte ma chatte, ses doigts de pied entrent en moi, les quatre premiers sans problème, pour le pouce il faudrait que j’arrête de la masturber pour m’écarter avec les deux.
Je fais pivoter le pied, elle doit sentir qu’il est sur mon point sensible, car elle commence à me masturber avec, une nouvelle fois, je découvre qu’un simple pied permet de prendre son pied quand toutes les deux nous jouissons.

• Les filles, vous vous êtes données du plaisir, moi non, mais la nuit est longue, Jessika, es-tu pressée ?
• Non, j’ai rendez-vous à 16 heures, près de la tour Effel, je mets ma sonnerie de portable à 14 heures, j’aurais le temps d’aller chez moi me préparer.

• Alors à table, voyons ce que nous avons dans le frigo.

Elle se lève plus épanouie que jamais, ouvre le frigo, la boîte à pain, je lui rapporte sa coupe.

• Nous allons faire un repas poisson, caviars et plateau de saumon fumé.
• Fauchon a livré quand tu dormais ce matin, c’est tout frais, en dessert il y a des macarons, j’en ai commandé mon cœur, je sais que tu en raffole.
• Change la bouteille de champagne, celle que tu as ouverte tout à l’heure est chaude et éventé.

Si sexuellement elle s’est émancipée, Mariane reste très fille de… contrairement à moi qui la plupart du temps veut son indépendance, elle reproduit le schéma de nos parents, amasser du fric, du fric et encore plus de fric.

• Dis, tu m’as parlé de ton voyage en Afrique avec Luc et Antoine en Safari et de tes turpitudes, raconte, je raffole des histoires de cul, à mes moments perdus, je vais lire des histoires salaces sur mon portable, j’aime particulièrement le site Histoire de sexe.
• Nous ignorions qu’un tel site existait, Louana, à nos moments perdus, nous irons le voir.
• Lisez particulièrement les histoires de Florence27 pour les amours féminin, Chris71 pour des récits qu’il essaye de varier, il a même écrit sur des histoires de vampires buvant le sang de ses maîtresses.
Il y en a plein, Vieulou est l’un d’eux, ces histoires sont toujours charmantes et surtout bien écrites.
Si tes turpitudes se sont faites en Afrique, dit moi que tu as tâté de la bite noire !
• Louane, on lui raconte ou on la laisse dans l’ignorance.
• Elle m’a fait jouir, elle a le droit de savoir.
• Alors c’est toi qui racontes, c’est à cause de toi que tout est arrivé.
• Avant d'entrer à Paris, dans les bagages de Jennifer, excuse, c’est dur de raconter, toute la journée à la galerie, c’est ce nom que l’on me donne pour parler de Mariane, il se peut que je les mélange, mais c’est toujours de ton amie que je parle.

Il y avait trois ans que je travaillais dans la savane pour organiser des safaris-photos haut de gamme, le minibus que nous possédions à l’agence pouvait emporter le chauffeur Abdou, deux fois deux places à l’arrière et moi qui était garante du bon fonctionnement de la semaine pour nos clients.
À être seul avec Abdou, un jour où le vent de sable soufflait, nous avons été dans l’impossibilité de monter la tente, nous nous sommes glissés sous la toile et nous nous sommes blottis comme nous pouvions, à un moment dans la nuit, j’ai senti une dureté dans le dos, j’ai cru à une pierre, mais elle était placée trop haut et surtout, elle semblait avoir des pulsions.
J’ai vite compris que ce grand dadais avait envie de moi, je me suis retournée, je l’ai prise en main, il est souvent dit que les noires sont bien montées, il l’avait sortie de son short, j’avais du mal à en faire le tour.
La toile empêchait mes mouvements, le vent avait fini de souffler, ayant trouvé la fermeture Éclair nous isolant du sable, je l’ai ouvert.
J’ai pu la masturber, la lueur du début de jour m’a montré qu’Abdou mettait à ma disposition plus de 35 centimes de sexe.
J’avais déjà eu des amants le soir au bivouac, j’étais venue de France dépucelée, Abdou est devenu mon amant, mais il est très infidèle, il baisait des mémés qui aimaient s’encanailler chaque fois qu’il le pouvait.
Un jour nous devions emmener Mariane et deux hommes Luc et Antoine, dès le premier soir, j’ai vu que notre salope appartenait à ses deux hommes, l’un d’eux Luc, je crois, me regardait avec envie, dès le deuxième soir, nous baisions tous les quatre.
Mariane a remarqué la bosse du pantalon que faisait la verge d’Abdou dans son short, nous étions assez intimes pour qu’elle me demande si je me laissais baiser par cette verge.
Quand j’ai dit oui, au bivouac suivant, elle se faisait prendre après l’avoir sucé et pendant que j’en faisais de même en double pénétration par ses amants.
Ce fut la nuit qui a tout déclenché entre nous, j’ai démissionné pour venir ici, quant à Abdou, il attend dans son pays d’avoir des papiers réglementaires pour nous rejoindre.
Il va avoir un travail d’entretien dans les entreprises de Luc et Antoine.
• Elle raconte très bien, à un détail, mes amants à Obernai ont souhaité me faire entrer dans mes meubles à Paris comme tu me l’avais préconisé, je suis allée discrètement chez mon père pendant qu’il était peut-être en train de te baiser pour récupérer deux toiles.
Ils ont apprécié mon travail et ont décidé d’anticiper ce que j’ai toujours voulu faire avec le pognon de mon père, ouvrir cette galerie avec en prime cet appartement, quand j’ai emménagé, j’ai pensé à toi, Jessika, l’élève avait rattrapé son maître.
• Plus que cela, je vis avec un seul homme, toi tu en as deux ainsi qu'une jolie petite maîtresse en prime.
• Et si nous goutions au caviar !...

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